un message un peu particulier, pour inviter celles et ceux qui le souhaitent sur ce forum à devenir des ambassadeurs de la marque GTD !
Qu’est-ce que ça veut dire ? Concrètement, c’est un système d’affiliation classique, qui vous permet de répandre la bonne parole autour de vous tout en touchant une commission sur les ventes que vous générez par l’intermédiaire d’un lien que nous vous fournissons.
Nous lançons ce programme maintenant car pour la première fois, nous organisons des séminaires ouverts à toutes et tous (le premier aura lieu à Nantes le 2 octobre prochain). Le public cible ? Les professions libérales, dirigeant•e•s de TPE, freelances, profs… Alors si vous en connaissez dans ce coin-là dont vous pensez qu’ils pourraient bénéficier de GTD, n’hésitez plus à passer le mot.
Je profiterai de ce fil de discussion pour répondre aux questions que vous pourriez avoir sur le programme.
Vu combien j’en parle de toute manière, ça pourrait être cool d’officialiser un peu la chose Mais question : il y a globalement zéro chance que ma sphère (artistes au sens large) mette un jour les pieds à un séminaire qui ait l’air « entreprise ». (Beaucoup froncent les sourcils quand on leur parle déjà de producivité.) L’affiliation inclut-elle aussi les livres GTD, par exemple ?
Le programme d’affiliation Ambassadeur concerne aussi les guides d’installation et les bouquins (et à terme un peu tout ce qu’on pourra proposer comme produits et services en fait ).
Hélas, je crains que oui. La limite corporate supérieure du domaine est l’école Les Mots, à mon sens (pour laquelle j’interviens régulièrement, et vais d’ailleurs faire bientôt une conférence autour de l’organisation des tâches et du savoir – GTD / Zettelkasten, en gros)
Jamais un créateur indépendant ne mettra 300 euros dans un séminaire, c’est une certitude. (Après, ça n’est pas forcément le public.) Mais si ça inclut les bouquins, c’est cool
Ça dépendra du succès des niveaux 1 (puisqu’on ne peut faire un niveau supérieur qu’après avoir fait le(s) niveau(x) précédent(s)).
Et tout dépendra donc du succès de celui-ci, qui est le tout premier (en toute franchise, à l’heure actuelle ce n’est pas très bien engagé).
L’idée de départ c’était de faire un tour de plusieurs villes de France, comme font nos collègues allemands et anglais : Nantes, Bordeaux, Marseille, Lyon, Strasbourg, Lille… ça marche très bien chez eux (mais peut-être faut-il céder au cliché qui veut que les anglo-saxons soient davantage sensibles à l’organisation et aux méthodes).