Depuis plusieurs mois j’utilisais un FILOFAX (classeur à anneaux), après avoir utilisé NIRVANA HQ plusieurs mois également…
Je me suis rendue compte, qu’avec le FILOFAX, j’aimais le côté papier, et plus « rapide » pour noter et rayer des choses, par contre, je pense que j’écrivais moins, car plus long au final de tout consigner…
Je suis perdue, je ne sais plus du tout quel outil utilisé !
D’un côté j’ai envie de reprendre NIRVANA car c’est quand même hyper pratique de ne pas s’encombrer physiquement avec de nouvelles choses (papier, classeur, etc…).
Et d’un autre côté, j’ai pris 7 chemises cartonnées pour juste mettre mes listes brutes dedans, et j’apprécie beaucoup le fait de pouvoir tout avoir à portée de main comme çà…
L’outil informatique à l’avantage de toujours être « propre » : pas de ratures, de choses barrées etc…
Mais c’est plus froid.
Et le mettre à jour n’est pas évident quand on est pas devant un ordinateur…
Je voulais mettre uniquement mes prochaines actions sur Nirvana et mes listes projets et supports projets sur papier mais çà fait encore un système compliqué je trouve…
C’est le brouillard complet !
De nouveau… Je lance un SOS
Difficile de repondre tant les choix sont personnels. tu as beaucoup de systeme expliqués ici. Papier, logiciels etc… Mon conseil, la aussi d’experience, c’est d’eviter de te disperser. Un seul systeme est ideal numérique ou papier car ca va plus vite. Le choix est une question de confiance. Nirvana est facile et conforme a 100 % GTD, things est proche de Nirvana, Omnifocus et to doist sont des « autres monde », le papier c’est bien aussi mais ca prend de la place… Le plus important ce n’est pas l’outil c’est la méthode. Petit a petit on trouve ses marques et parfois on change… C’est pas grave si ce n’est pas un pretexte pour éviter de faire ce qu’on a a faire. Le principal c’est que tu sois à l’aise avec l’outil. Parfois cela prend « un certain temps ». Parfois on se rend compte qu’on n’a pas besoin de certaines fonctions mais furieusement d’autres qui sont sur certains logiciels parce que c’est ce qu’on utilise vraiment au quotidien.
N’oublis pas les archives et les recherches. On a parfois besoin de retrouver quelque chose. Il faut une cohérence et une persévérance dans le process… Et puis il faut les liens avec les references et de ce coté le numerique c’est top exemple OF/ TH + evernote etc…
Quel que soit l’outil, pour moi il doit être unique en fonction de son rôle.
Un système de gestion de tâches
Un système de support (ou un système de support par type de travail)
etc.
Imagine, si tu mets une partie de tes rendez-vous dans ton téléphone et une partie sur un agenda papier, tu ne peux faire confiance à rien.
Si tu prends un outil numérique, il est indispensable que tu y aies accès où que tu sois (donc que tu sois hyper familière avec son app mobile, par exemple). Donc tu dois réfléchir à tes modes de travail pour déterminer l’outil correspondant (papier ou app, et quelle app ensuite). J’utilise OmniFocus pour ma part de façon hyper custom, parce que j’ai beaucoup trop de rôles, mais uniquement parce que j’ai déterminé que c’était ce dont j’avais besoin, et que j’ai plié l’outil à mon usage. Je ne le recommanderais par exemple pas à mon épouse, qui a un boulot de terrain, et se suffit très amplement d’une app de listes type Rappels.
Un petit mot d’avertissement sur les outils de gestion de tâche : ce ne sont pas des outils de gestion de projet, et surtout pas créatifs. Les travaux créatifs se plient mal à la discipline de GTD ; dans ce domaine, la frontière entre « notes projets » et « actions » se brouille, et je trouve beaucoup plus pertinent de travailler à partir d’un système de « support ». C’est-à-dire dans mon cas, pour un bouquin, Scrivener et Obsidian. (Le projet correspondant à un livre est quasiment toujours vide dans OmniFocus.)
Ton type de travail spécifique et la frontière entre ces fonctions peut être pertinente à réfléchir aussi pour définir les outils dont tu as besoin. Rappelle-toi que ça n’est pas l’outil qui compte, c’est le travail qu’il nous aide à produire. Je pense par exemple aux universitaires stricts dont le système de productivité serait en réalité composé à 75% d’un Zettelkasten et 25% d’un système de gestion de tâches « classique ». Il faut que tu voies d’abord de quoi tu as besoin dans ton travail et tes rôles pour choisir l’outil qui te permettra de soutenir cela, pas l’inverse, je pense.