J ai récemment relu gtd et la partie relative au niveau. Je suis tombe sur ces quelques lignes et c est exactement ça.
Et vous vous en etes où ?
Plus je suis dans le creux de la vague, plus je m’accroche à la méthode
Je suis dans la simplification. Pour qu’il ne reste que l’essentiel.
Ça va peut-être sembler immodeste, je ne m’en étais pas rendu compte… mais je suis dans l’extrait que tu dis. Ce qui est complètement dingue. Je ne m’étais même pas aperçu que j’avais assimilé les principes naturellement, pour moi j’étais toujours en train de me caler. Je crois que ce qui a vraiment accéléré les choses, pour moi, c’est le time-blocking (je travaille en indépendant depuis des années et j’avais besoin d’une strate de structure supplémentaire).
Tout a fait ok avec toi. Moi aussi je ne me suis pas rendu compte que j avais assimile les principes essentiels. Je crois que c est la force des habitudes. Au bout d un moment tout roule naturellement. Moi ce qui m a fait le plus rire c est lorsque j ai close un rdv avec un client et que tout naturellement avant de le quitter je lui ai dit << bon, quelle est la prochaine action >> c est la que tu te dit c est moi qui ai dit ça ?
Moi je suis tombé du wagon il y a plusieurs mois, et je viens de remonter dedans il y a quelques jours seulement.
J’ai 309 emails dans mon inbox email, 131 trucs à traiter dans mon inbox Things, et 4,5 cm d’épaisseur dans mon inbox papier.
Mais pour être déjà tombé plusieurs fois du wagons (ça nous arrive tous en théorie), je sens que j’y remonte à chaque fois beaucoup plus vite que la fois précédente
Bref, je suis plein d’optimiste et d’enthousiasme
…et j’ai plein de trucs en tête, alors j’arrête pas de rajouter des trucs dans mon inbox Things…
Je vais peut-être lire le GTD pour les ados… parce que le vrai GTD, je n’aime vraiment pas le reprendre tellement c’est désagréable à lire…
J’ai beaucoup de travail, et, on connait tous cette situation très contradictoire, je n’arrive pas à trouver du temps pour « gérer » mon système (= cercle vicieux typique de la chute du wagon)
Le confinement perturbe encore un peu plus tout ça… Mais comme les écoles restent ouvertes cette fois-ci, j’ai de l’espoir (je suis un optimiste… toujours !!)
Le premier truc que je vais faire quand je peux prendre 2 ou 3 heures, c’est vider ma boite email. Les 309 emails devraient se transformer en une centaine de trucs à faire.
Une chose que je commence à intégrer est que les horizons supérieurs (1 à 5) ne sont que des check listes, des listes me permettant de déclencher des idées, tâches…
J’ai toujours cherché à aligner les horizons supérieurs et à faire glisser les objectifs en projet etc…
Mais maintenant je regarde mes listes à intervalles régulière pour voir si j’ai bien toutes les actions. Cela fonctionne également pour la liste des projets qui du coup ne nécessite pas forcément d’être liée aux actions.
J’aime bien voir les horizons (supérieurs ou non) comme des cartes d’orientation, à consulter quand on a besoin de direction et/ou de sens dans ce qu’on fait. Et parfois de rappel à l’action (au sens plus ou moins large).
C’est un peu comme se demander de quelle carte on a besoin pour se rendre Place des Vosges… Ça dépend totalement de l’endroit où l’on se trouve : si on est dans le quartier ou à Los Angeles, on n’utilisera pas le même horizon de carte.
Il n’y a pas besoin de lier « physiquement » le H5 avec le H0 et intermédiaires, le lien existe déjà, c’est nous mêmes. La réflexion (au sens de passage en revue) des horizons nous montre la cohérence entre tous les éléments qui s’y trouvent (sinon c’est l’occasion d’une mise à jour).
Très bien dit, c’est sûr que quand j’ai débuté j’essayais de trouver un lien logique entre les horizons mais comme tu l’as dit, le lien c’est nous