Causes et conséquences

Voici mes quelques centimes de contribution:

-1 Lorsque l’environnement ne me convient plus, on peut prendre la décision d’en changer.

2- C’est la faute de l’environnement, c’est la faute des autres ou pour finir c’est ma faute. J’ai compris cela dans Ultimate Edge de Tony Robbins où il aborde la notion de « blaming ».
Toutes nos pensées orientées dans l’une de ces 3 catégories « c’est la faute de », ne font généralement rien avancer sauf si il y a une volonté de s’attaquer à la racine.

Pour cela on peut utiliser des outils du LEAN (root cause analysis, fishbone…), des outils qui permettent de poser un diagnostic sur l’exécution d’un processus, d’en analyser les déchets de fabrication puis de proposer des solutions de résolution - tel un médecin pour les problèmes de santé.

3- Comme l’a dit Jack Welsh dans son dernier livre, chaque de nos actions a toujours une conséquence voir des conséquences. Il faut en être conscient et pouvoir vivre avec.
C’est le principe physique universel de l’action/réaction.

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Sans aller jusqu’à des systeme tres (voir trop) sophistiqués, une fois les problèmes inventoriés avec des mots tres simples, on peut aussi utiliser la méthode des 5 pourquoi. Je l’ai découverte dans le livre de RYDER CAROLL et je l’utilise tres souvent lorsque je suis confronté à un manque de clarté dans n’importe quel DR (H2)

Le 2 eme point tres important c’est de bien comprendre que notre cerveau n’a qu’un seul but nous protéger des agressions extérieures pour nous permettre de survivre. Le soucis c’est qu’il en fait un peu trop. On fini par avoir des pensées en boucles négatives et à toujours voir le verre à moitié vide, a se laisser guider par ses peurs et celle que nous transmettent les autres.

La solution est de consciemment reprogrammer son fonctionnement (méditation, seance de relaxations, promenades, isolation…) pour se forcer à chercher des solutions plutot qu’inventorier sans cesse la masse de problemes

Si le processus est bien réalisé les choses changent naturellement dans le bon sens.

Personnellement, je fais régulièrement des cures medias. Plus d’info radio, idem télé, je choisi des programmes positifs (musique, reportages sur des civilisations, des pays, je lis, j’échange avec les autres sur des sujets qui me passionnent (comme GTD :wink:) et je cherche des solutions.

Puis surtout je les applique tres vite et je controle leur résultats.

@fdenoisy, effectivement les « 5 why » sont dans la boîte à outils du lean tout comme FMEA (failure mode effect analysis) et bien d’autres. Il faut juste se servir de l’outil adapté à la situation.

Pour le reste, j’ai noté que les personnes en général comprennent relativement bien qu’il faudrait faire de l’exercice physique pour entretenir le corps dans une spirale vertueuse mais rarement qu’il est nécessaire de faire la même chose pour l’esprit.

C’est passionnant d’observer tout cela, nous sommes sans doute tout juste à l’aube de la prise de conscience.

Tout comme un muscle, l’esprit à besoin que l’on s’occupe de lui pour fonctionner de manière optimale. J’ai trouvé beaucoup de réponses chez Tony Robbins et Joe Dispenza.

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Ok avec toi. Ce sont des gens positifs. J’essaye aussi de prendre modele sur ce type de personne et d’eliminer consciencieusement de ma vie tous les gens négatifs et ceux qui tirent toujours la couverture à eux. Ce qui me fascine dans mon métier c’est le nombre de gens concernés et c’est inter generationnel. L’epoque (comme toujours) est interessante. On y retrouve le meilleur comme le pire. Un des aspects de GTD que j’ai découvert c’est qu’une fois que le contrôle est acquis et les horizons bien inventoriés on est moins soumis au stress et beaucoup plus conscient des " effets papillons " il y une sorte de focus quasi permanent sur tous les aspects de la vie et on y gagne beaucoup à tous point de vue…

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Absolument François, grâce à GTD et la construction de mon écosystème, j’ai pu introduire des routines/rituels journaliers tel que techniques de visionnage mental, lecture de formulations…, cela semble avoir eu des effets sur la matière dans mon environnement proche.

Notamment en utilisant la technique de Jason Selk RSF (Relentless Solution Focus) au lieu de PCF (Problem Centric Focus).
Notre cerveau/esprit, si j’ai bien compris la mécanique de tout cela, grâce à ses capacités de filtration quasiment infinies nous ferait voir des opportunités qui sont autours de nous tout le temps mais en fonction du « type de lunettes » que nous décidons de porter on les voit ou pas.
A nous de décider si l’on veut porter des lunettes « à vision de problèmes » et si oui, on en sera entourés ou plus tôt changer de lunettes.

Il y’a probablement beaucoup à découvrir sur l’effet de nos pensées, les énergies… Tout un programme.

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Je sors d’une formation sur l’intuition à base de constellations systémiques et de CRV (controlled remote viewing), qui en plus boucle avec le travail de comédien que j’ai pu faire dans ma vie d’avant. Circulation d’énergies, où est stockée l’information dans l’univers, etc. Le sujet est fascinant ! Très perché et fascinant.

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Je comprends, ça me fait ça aussi parfois. Du coup je calme mon côté logique en étant assez factuel et en partant, presque paradoxalement, sur le principe qu’il s’agit beaucoup d’interprétation.

Je prends l’exemple des outils de profilage psychologique (DISC, MBTI et toute la palanquée). Comme vous le savez, je ne suis pas fan du tout parce que tout ce que ça fait en pratique, c’est que les gens collent des étiquettes à tout va sur les autres… ce qui revient à nier toute la complexité des relations humaines mais rassure ceux qui s’en servent (j’ai un bout par lequel prendre la personne/situation en face). Et surtout, aucun de ces outils n’est fiable. Dès qu’une étude psycho aborde l’un de ces outils avec un protocole sérieux, on s’aperçoit que c’est du vent. Pour le MBTI par exemple, environ la moitié des personnes qui passent le même test à 5 semaines d’écart obtient un résultat totalement différent (voir Des modèles et de leurs limites, le MBTI et Myers Briggs).

De la même manière, parfois je me retrouve face à des phénomènes qui me sont présentés comme inexplicables autrement que par une « circulation d’énergie », « phénomène quantique » (franchement y’a tellement de trucs « quantiques » et « neuroscients » de nos jours, c’en est risible), « machin astral », etc. Comme une manière de parer le tout de vertu et de validation par l’usage d’un mot scientifique ou spirituel, un peu hors de portée de mon pauvre entendement, et finalement détourné de son sens réel.

Je me dis donc, dans ces cas-là (après avoir rétabli le sens réel des mots détournés, car c’est important de faire attention au sens des mots), que finalement peu importe, du moment que cela permet à la personne qui le vit d’améliorer sa situation ou son acceptation d’une certaine compréhension du monde. Autant je militerai toujours contre l’utilisation en entreprise ou en société d’outils de profilage, pour conserver cet exemple, autant il peut être intéressant pour n’importe qui de l’utiliser sur soi-même. Parce qu’au moins ça permet que le travail de connaissance de soi démarre (quand il est fait sérieusement, j’ai pu voir que les gens se détachent ensuite de l’outil).

Tout ça pour dire qu’il y a pas mal de choses inexplicables, qui s’expliquent surtout par les liens et correspondances que l’on va créer soi-même, simplement parce qu’elles ont un sens qui nous parle et nous aide. Dans ce cas-là, pourquoi pas, après tout. Il faudrait juste s’abstenir d’essayer de les expliquer d’une manière pseudo-scientifique.

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