J’ai remarqué que quand les gens s’occupaient eux-mêmes de leur prés’, y’avait moins de charrettes
Mauvais esprit à part :
- « un peu » de time-blocking me paraît salutaire dans ta situation (après, il y a des fois où c’est le rush de toute façon, mais ça doit rester « des fois », pas chronique ni régulier)
- certes il n’y a pas grand chose d’obligatoire dans GTD, mais avoir des contextes permet deux choses :
– on se donne la possibilité de noter réellement tout ce qu’on a à faire
– on se donne la possibilité de tirer parti au mieux des circonstances et des modes de fonctionnement du cerveau (qui aime bien les modes… pendant un temps).
J’ai remarqué que les gens qui fonctionnent sans contexte le font souvent parce que sinon « les listes sont trop longues et ça me stress », autrement dit ils n’assument pas d’avoir dit « oui » à tout ce qui s’y trouve et s’imaginent qu’en ne les notant pas, d’un coup elles ne sont plus vraiment à faire (et ils ne destressent pas autant qu’ils le pourraient).
Corollaire très fréquent : quand on regarde ces listes, on voit que souvent ce ne sont même pas de vraies prochaines actions écrites dessus, mais des tâches à tiroir.
C’est normal d’avoir entre 80 et 250 prochaines actions suivant les périodes, domaines et activités (pro et perso confondu). Je le ré-écris. C’est normal d’avoir entre 80 et 250 prochaines actions.
S’il n’y a qu’une vingtaine de prochaines actions sur la liste, c’est qu’il n’y a pas tout.
Quant aux imprévus, on peut avoir avec l’expérience une idée du volume dans son activité. Perso, je suis de plus en plus loin des formations mais toujours assez proche des clients, cependant j’ai organisé mon temps dispo ce qui fait que l’imprévu dépasse rarement une demi-journée chez moi.