Considérations musculaires sur une image inappropriée ;)

Je trouve que c’est un peu comme dire que mon muscle du bras travaille différemment selon qu’il lève une chaise ou joue de la guitare : pas vraiment, s’il doit se contracter, il se contracte, sinon non.

Ton analogie est plus apte que tu ne le penses. Jouer de la guitare nécessite des muscles et une pratique sans aucun rapport avec le fait de soulever une chaise. :wink: C’est probablement pour ça que je connais peu de déménageurs qui ont eu la carrière de Jimi Hendrix. :grin:

Oui mais Jimmy pouvait soulever des meubles aussi (pas que son public :stuck_out_tongue_winking_eye: ) pour être plus précis, je ne parlais pas de l’ensemble des muscles en action dans une activité ou l’autre, mais juste d’un muscle : soit il est activé ou pas dans l’activité, mais quand il l’est, il ne l’est pas différemment.

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Allez, moins approximatif comme analogie : on va dire que le neurone tire ou pas, mais pas différemment.

Mouais on va s’enferrer là :sweat_smile:

En fait, la motricité fine, c’est très différent de l’effort brusque, qui est aussi différent de l’effort soutenu. Il y a trois voies métaboliques différentes pour l’effort physique musculaire qui répondent à des besoins radicalement différents :grin::stuck_out_tongue_winking_eye:

Oui je préfère les neurones :slight_smile: que ça soit créatif ou pas, les neurones sont activés de la même manière, c’est on/off. Après, je ne parle pas des niveaux de conscience.

Bref, pour dire qu’on gère de toute façon toujours plusieurs projets à la fois et que la stimulation creative des uns n’est pas forcément celle des autres.

Si tu continues sur le domaine biologique, le cerveau est un réseau de neurones, ce qui compte n’est pas du tout son activation (laquelle, d’ailleurs, n’est pas binaire comme un transistor d’ordinateur, même dans le cas d’un neurone isolé) mais la manière dont ces réseaux s’organisent et communiquent entre eux. Certaines activités ne nécessitent pas la même énergie (y compris métabolique) et toutes les activités ne sollicitent pas l’encéphale de la même manière ni le même pourcentage de celui-ci.

Tu le dis quand t’en as marre de moi. :stuck_out_tongue_winking_eye:

Ah, il faut que je mette mes connaissances a jour, j’en étais resté au neurone (pas le réseau) individuel qui était on ou off mais jamais entre les deux.

Après, c’est surtout qu’on est en train de pourrir le post d’origine à ergoter sur une image :slight_smile: et que ça ne change pas ma vision de la chose créative

j’en étais resté au neurone (pas le réseau) individuel qui était on ou off mais jamais entre les deux

Certains circuits fonctionnent sur un spectre d’intensité. Il y a certes un seuil d’activation du neurone, mais l’action des neurotransmetteurs devient ensuite une affaire de concentration dans la synapse et non de simple on/off.

Rhooo t’as scindé le thread. Comment t’es pas drôle. :stuck_out_tongue_winking_eye:

Dis donc, t’aurais pas une deadline qui approche ? :smiley:

J’ai eu deux mois de rab :grin:

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C’est plus complexe que cela encore. On peut par la pensée activer certains gènes et en désactiver d’autres.

La pensée c’est le language du cerveau et les sentiments celui du corps.

Tout ce codage génétique crée un fantastique écosystème biochimique qui produit toutes les protéines de notre être. Et tout impact tout.

Nos pensées affectent notre corps et vice versa. Le top étant d’aller dans le « système opérationnel » - la partie subconsciente (si on le désire bien sûr) pour reprogrammer nos routines internes qui peuvent nous mettre en auto-pilotage trop souvent.

Mais loin de moi de prétendre que j’y comprends quelque chose en neurosciences et épi génétique…

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Oui gentiment, il faut mettre la méditation à l’agenda de manière journalière et trouver les périodes où notre suggestibilité est la plus propice comme le soir avant l’endormissement ou le matin au réveil.

Il faut que la partie sensorielle soit mise en veilleuse pour atteindre le subconscient.

Avec le temps on commence par ressentir dans quelles types d’ondes cérébrales le cerveau se trouve. Mais c’est comme tout dans la vie, pratiquer, pratiquer et dans ce domaine surtout sans forcer.

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Napoleon Hill en parlait déjà dans Think & Grow Rich (son « conseil de sages » du soir —je trouve ce bouquin d’une manière générale très sous-estimé, surtout la partie sur l’énergie sexuelle), et Kurzweil est un grand pratiquant de la chose aussi.