Bonjour,
À celles et ceux qui utilisent un contexte courriels : comment l’utilisez-vous ?
Par exemple :
- uniquement pour les courriels à rédiger, ou aussi pour ceux à consulter ?
- Comment différenciez-vous les actions pour lesquelles un téléphone suffit de celles pour lesquelles il est nécessaire d’être à l’ordinateur ?
- …
Je vous explique ma situation :
J’ai créé il y a quelques mois ce contexte, pour plusieurs raisons :
- Soulager le contexte supérieur (du type « ordinateur connecté ») qui était trop rempli et devenait donc peu à peu inutilisable.
- Miser sur le fait que, quand on écrit un courriel, on est dans le flux pour en écrire un suivant (je ne suis pas sûre de cela, finalement).
- Pouvoir piocher facilement des tâches à faire quand je suis, par exemple, dans les transports en commun avec mon téléphone : lire une lettre d’information, rédiger une réponse courte… Sur cette liste, il y a cependant toutes les actions concernant les courriels, donc la rédaction de courriels complexes aussi, que je ne veux pas faire sur téléphone.
Quelques mois après, le résultat est mitigé :
- Certes, le contexte de type « ordinateur connecté » est allégé.
- Mais je commence à avoir trop de contextes et j’oublie souvent de consulter cette liste de contexte courriels.
- Lire et rédiger, ce n’est pas la même chose, pas la même attitude mentale.
- Il me déplaît que les actions concernant des courriels « boulot » et des courriels perso soient mélangées dans la liste (c’est en partie lié au fait que j’oublie de la consulter, car les courriels de boulot peuvent moins attendre).
Je me rends compte que ce contexte ne semble pas correspondre à grand-chose finalement, par rapport à mes habitudes. En général, quand je vide ma boîte de réception, ce qui prend un certain temps, une fois cela fini, je la ferme et je passe à autre chose. J’ai très rarement envie d’en profiter pour rédiger un message ou lire un courriel plus ancien.
Je ne sais pas s’il est GTD de séparer le pro et le perso, mais je me suis déjà créé un contexte « Ordi connecté - heures de travail », car je ne voulais plus voir d’actions n’ayant rien à voir avec mon travail quand je travaillais.
La solution par rapport aux courriels serait alors peut-être de tout répartir dans « Ordi connecté - heures de travail » / « Ordi connecté - autres ».
Je m’interroge par rapport au téléphone : quand je reprendrai davantage les transports en commun, comment repérer les actions que je peux faire facilement avec mon téléphone, par internet ? Je me vois mal les mettre dans une liste « téléphone », car alors je ne la consulterai pas ou peu lorsque j’aurai un ordinateur connecté à disposition. « Internet facile » ? Le danger est cependant de multiplier les contextes.