Les contextes émotionnels

Publier précédemment ici : https://www.productifetserein.com/les-contextes-emotionnels/

Attention, ce qui suit n’est pas pour le tout nouvel arrivant aux contextes ! Je vais disserter sur ce qu’est un contexte d’une manière qui peut, à première vue, sembler contradictoire avec une espèce d’orthodoxie de GTD (qui n’existe pas vraiment, du reste). On le sait, un contexte est une combinaison de lieux, outils et/ou…

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Hello à tous
J’aime bien l’idée du contexte émotionnel.
J’ai eu tellement de mal à m’habituer à ranger mes tâches dans un contexte et à déterminer ces derniers que je ne vais pas m’aventurer à n’attacher une tâche uniquement dans un contexte émotionnel.
Pour autant, je pense commencer par lister les émotions que j’aime bien ressentir au boulot ( ça peut pas faire de mal.)
Je vois déjà ceux là :

  • être fiable (envers les autres)
  • créatif
  • a flot
  • entreprenant (commerce)
  • super-papa
  • mon corps est mon temple
  • visionnaire

C’est l’occasion, à mon sens, si vous souhaitez utiliser quelques contextes émotionnels, d’y aller à fond. Quelques exemples de listes de Robyn Scott, qui fonctionne ainsi, pour vous donner une idée :

  • triomphante
  • suprêmement satisfaite
  • massivement soulagée
  • extrêmement utile aux autres
  • décence élémentaire
  • enchantée
  • prête au combat
    etc.

Robyn n’arrive pas à faire des tâches qui la font se sentir juste « bien » après. Selon elle, si une tâche lui provoque seulement un « ça va » une fois réalisée, on peut se poser la question de savoir si elle mérite vraiment qu’on la fasse (étant entendu qu’il n’y a parfois pas le choix, mais l’idée de se poser la question demeure pertinente).

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J’aime bien l’idée ! Pas forcément à faire sur toutes les actions mais ça peut aider à contrer une forme de procrastination en se faisant du bien. Merci @anon22870395 !

Super piste d’évolution des contextes… J’en retiens surtout une dans la liste de Robyn Scott: « Massivement soulagé ».

J’avais déjà pensé à pouvoir identifier rapidement les tâches qui me génère le plus de soucis, celles qui me pèsent le plus; cette piste de contexte est peut-être une solution.

Bravo @anon56350303 !
Je viens d’installer les miens dans TODOIST.
Est ce que tu peux/veux partager quelques uns de tes contextes du coup :slight_smile: ?

Je suis fan :smile: mention spéciale pour « sa mère ! »

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@anon56350303. Excellent !! :ok_hand:

…ça mériterait une petite explication de texte :wink:

Mon avis ne va pas être super productif sur les contextes émotionnels, mais je voulais juste ajouter (car nous sommes là pour échanger :blush:) que perso, j’ai l’impression que de qualifier une tâche : « pénible », « pas envie » etc… çà me couperait l’herbe sous le pied avant même de commencer…

J’ai l’impression que c’est trop émotionnels pour le coup, mais je me trompe peut-être, ou surtout : ÇÀ DÉPEND DE CHAQUE PERSONNE :wink::kissing_heart:
Pour moi çà ne fonctionnerait pas, trop démotivant.
Autant les appellations positives, elles sont top, parce que çà booste encore plus pour s’y mettre, autant les autres, je suis moins fan :smiley:

@Justine @anon56350303
Il faut peut-être envisager de définir le contexte non pas par l’aspect négatif qui le caractérise (« penible » par exemple), mais plutôt par l’état d’esprit positif dans lequel vous pouvez espérer être une fois ces tâches effectuées (« soulagé » par exemple).

Moi je débute dans la pratique du contexte émotionnel… J’ai juste créé un contexte « Massivement soulagé », que je peine encore à utiliser (c’est long de changer une habitude).

Par expérience, j’évite de créer un trop grand nombre de contexte… comme un trop grand nombre de listes d’ailleurs.Il faut que ça ait du sens, que ce soit évident, sinon je considère que c’est trop tiré par les cheveux et je passe mon chemin…

Juste un petit rappel qu’il n’y a évidemment aucune obligation à créer des contextes émotionnels, c’est juste une approche originale qui marche bien lorsqu’on est « bloqué » par les contextes plus classiques.
À une époque j’utilisais « Pump me up! », qui contenait des actions qui me dopaient le moral et l’énergie une fois réalisées ; je me suis aperçu après quelques temps que c’était principalement des actions courtes avec peu d’énergie ou alors des fins de projet, je suis revenu aux contextes classiques car je « sais » maintenant que ces tâches courtes et peu énergivores (ou celles qui terminent un projet) vont me booster.

@anon22870395
Le DÉSIR précède l’ACTION ! :slight_smile:

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Bon eh bien

Je trouvais l’idée formidable, très inspirante et tout et tout et ben pour moi… ça ne marche pas !

Je viens de les retirer de mon outil (Todoist)

Est ce qu’il y en a pour ça fonctionne ???

Très beau podcast sur Connect - https://gtdconnect.com/podcast.php “The next Action: Lion, Tigre, Bear”, Susanne Strisik couvre tous les aspects émotionnels et psychologiques. Une autre manière de vivre GTD.

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Je reviens sur ce sujet pour dire que j’en utilise peu. Pour l’instant un seul que j’appelle « creatif » qui est dans la liste des contexte. C’est ce contexte qui me sert notamment à faire mes MPN. Il est plus proche du sens « focus » mais c’est l’esprit…