Remonter dans le train quand on est tombé du wagon : comment faire

Salut à tous,

Je suis tombé du train… :face_with_raised_eyebrow: ça m’arrive, mais là, ça commence à faire un bon moment (environ 2 à 3 mois je dirais…) et je suis complètement aux fraises, j’ai des inbox pleines, des listes pas du tout à jour, une sensation affreuse d’oublier plein de trucs et d’être systématiquement en mode « l’urgent d’abord »…

Etat des lieux:

  • dernier WR il y a au mois… 3 mois
  • inbox email: 113
  • inbox physique 25 cm d’épaisseur
  • inbox Things: 108 tâches à clarifier/organiser
    :sleepy:

…et contrairement aux fois précédentes, j’ai du mal à remonter dans le train… vraiment beaucoup de mal. Je ne culpabilise pas (enfin pas trop), ça sert à rien, je veux aller de l’avant.

D’où l’idée de ce post, qui pourrait me servir mais également devenir une référence pour tous ceux (tout le monde ?) qui tombent un jour du wagon…

J’ai besoin que vous me donniez une petite liste d’actions (un projet donc :wink: ) très concrètes (quand on est en mode panique, on n’a pas le temps de lire des messages de 380.000 caractères), pratiques, fonctionnelles, pour éteindre l’incendie et, donc, remonter dans le train :slight_smile:

A vot’ bon coeur :smiling_face_with_three_hearts:

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Salut Jean,
Avant toute chose il faut évacuer le trop plein : faire du tri, jeter, vider ses inbox. Le maitre mot, désencombrer, remettre les compteurs à zéro. Tu y verras plus clair et pourra repartir sereinement sur tes projets.

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Bonjour @Jean ,

Alors déjà, je t’envoie plein de bonnes ondes positives !
Tu vas réussir à remonter dans le train, c’est clair :wink:

J’aurais tendance à dire comme @Alexis

Peux-tu te prévoir un « long » moment pour pouvoir désencombrer tout çà sans interruption ?
SInon, peut-être peux-tu travailler par plus petits morceaux :

  • aujourd’hui je vide l’inbox de mes mails (ou cette semaine)
  • demain (ou la semaine prochaine) je m’occupe de vider cette pile de 25cm,
    etc…

Ce qui est pénible, en tout cas pour moi, c’est de commencer le tri dans un temps trop court, trop limité… On est obligé de s’arrêter et c’est hyper frustrant…

Ca fait 3 mois donc çà peut peut-être attendre quelques semaines, le temps que tu te remettes dans les bons rails :wink:

Beaucoup de courage à toi !
(Et très bonne idée ce post)

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Salut @Jean Jean, heureux d’avoir de tes nouvelles :wink:

Je rejoins @Alexis

Quand on est dans la mer il faut d’abord nager. Il n’y a aucune solution miracle…

La premiere chose c’est de reprendre à la base ta collecte et ton systeme. Je sais que tu es tres numérique (tu detestes le papier) et ton outil de prédilection est things que nous aimons tous deux (sauf si ca a changé) qui est un excellent outil de base mais puissant pour un usage classique de GTD.

La solutionc’est d’abord de se bloquer ½ journée d’abord. Un Week end, un jour de semaine etc mais bloques. Puis reprends chacune des 5 phases.

  1. Set up outil et collecte
    Si tu etais sur Omnifocus ca serait plus simple. Tu creerais une base vierge et ouvrirais ta " vieille base " en parallele puis tu glisserais tes projets nettoyés ou tes actions et drag and drop. Sur Things c’est tout ou rien…

Donc sur THINGS tu as le choix : Soit tu nettoies ta base actuelle, soit tu crées une nouvelle base après tu recopies de tout ce qui est important quelque part (text edit, word evernote etc…) ou papier…

L’important c’est de tout collecter dans un seul endroit puis de mettre à jour ta nouvelle base Element par élément prealablement nettoyé et clarifié…

  1. CLARIFIES / ORGANISATION
    Constitution de ta structure : Projets, contextes (le moins possibles dans un premier temps)
    projets et NA.
    Taches actionnée immediatement si actionnables et < 2Mn
    Taches > 2 mn (liste par contexte la premiere NA suffit)

  2. REVIEW des PRIORITES
    identification des sujets core (tes « urgences » tes "importances "

  3. ACTIONS
    Time blocking
    Actions de plus de 2 mn

Ne t’inquiètes pas on est tous tombés du wagon, moi aussi, 100 fois peut etre…
Mais avec GTD on retombe toujours sur ses pattes, comme les chats…

Penses surtout à chaque seconde à la loi de PARETO + à la loi ONE THINGS (Cf podcast)
La majorité des trucs ne servent à rien.

Une fois que tout sera parfaitement identifié tu auras ta carte routiere et la tout sera plus simple. Tu agiras à bon escient et mettras ton energie la où il faut.

Ensuite et surtout cree des process : Daily review, weekly review, reunion stratégique, pose de plannings de controle, de revision, de controle des waiting for etc…

ça c’est pour entretenir ton systeme. Aucune semaine ne doit passer sans que tu aies mis à jour ton systeme. La weekly review est ici la règle d’OR. La Daily review te permet de faire face aux choses indispensables souvent pénibles et à tes « urgences » à faire le bilan, à reajuster puis à controler la conformité à tes horizons (en gros)

Ton systeme doit t’aider à decider et tu ne dois pas subir ton systeme…

Si things ne te plait plus choisis un outil plus simple et plus GTD comme NIRVANA,
Si tu cherches quelque chose de plus puissant formes toi sur OMNIFOCUS (rien ne lui résiste) et lis DINI mais accroches toi, il y a un moment un peu difficile à passer (courbe d’apprentissage) mais apres (waouuuhh :crazy_face:)

Mais normalement Things doit suffire. 90 % des besoins GTD sont couverts apres ca reste un outil il faut le mettre à jour tous les jours.

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Bons conseils ci-dessus ! J’aurais une question complémentaire : penses-tu que quoi que ce soit qui est encore dans ton ancien système, à part le Un jour / Peut-être, nécessite potentiellement d’être revu ?
Si oui, pas le choix, il faut vider. Si non, repars à zéro avec un système neuf en te limitant aux entrants du mois dernier seulement.
Et à l’occasion, regarde donc ce webinaire s’il peut t’aider : Webinaire : remonter dans le wagon

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Merci à tous pour vos réponses ! :blush:

Je suis en parallèlle allé voir de l’autre côté de l’Atlantique: how to get "back on the wagon" | Getting Things Done® Forums

1 - La problématique de la chute du wagon, c’est le cercle vicieux dans lequel ça nous met:

  • on est mal organisé → on est à la bourre → on n’a jamais le temps de se mettre au calme pour mettre les choses à plat et tout s’embrouille dans notre tête → on est est mal organisé → etc…

2 - Je sais de ma longue expérience GTD que même si j’éprouve un besoin important de remettre à plat ‹ pourquoi je fais tout ça et comment › (horizons supérieurs) je dois déjà faire du ménage au rdc (et au 1er étage) pour y voir plus clair un peu plus haut.

3 - J’identifie alors en gros, deux possibilités pour remonter dans le wagon (si je me limite au truc ultra simple adapté à la situation de panique):

  • faire du ménage: vider mes inbox
  • trier: faire une WR au cours de laquelle je vais petit bout par petit bout, évacuer tout le brouillard qui m’entoure

=> Mais dans les 2 cas, la tâche me semble toujours trop grosse, trop importante, trop longue compte -tenu du retard pris, pour que je m’y attelle: je n’ai soit pas le temps, soit pas l’énergie pour m’y mettre… (et je reste une fois de plus dans ce cercle vicieux que j’ai décrit plus haut :mask:)

@Romain
Je ne sais pas ce qui ne va pas, mais je trouve que je tombe trop souvent du wagon. Maintenir mon système GTD à jour de manière durable requiert pour moi un effort je crois beaucoup important et trop contraignant. Ce n’est pas du tout naturel certes, mais surtout ça ne le devient pas avec le temps… (ce que je croyais au départ, comme les habitudes/routines en général).

Je crois que j’ai de la colère qui sort de tout ça; ça m’agace la non-fiabilité de la méthode pour moi.

Je ne sais pas vraiment quelle réponse trouver à cette problématique car pour autant, je crois que je ne suis plus à convaincre du bien-fondé de GTD, de son potentiel et de sa force, car quand je suis bien en place dans le wagon, je ressens bien cette sérénité à laquelle nous amène GTD. Je crois au système, non pas par théorie, mais par expérience.

Néanmoins, maintenir ce système bien en place dans la durée est quelque chose que je qualifierais de performance (pour moi)… et c’est là que ça ne va pas: c’est pas le but.

C’est par exemple une des raisons qui fait que je n’utilise pas Omnifocus: je reconnais que l’outil est hyper bien fait, bien pensé, mais lorsque j’ai essayé de l’utiliser (quelques mois) je passais les trois quarts de mon temps à faire des réglages de l’outil pour toujours chercher à optimiser encore plus ce truc de nerds super bien conçu. Y’a des mecs que ça amusent, pas moi: les outils de mon système ne sont pas une fin en soit; mes objectifs sont ailleurs. Un outil doit reste un outil.
(on le sait tous, c’est un piège à procrastination la problématique de l’outil)

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Je suis depuis quelques semaines, à 2 doigts de télécharger OF et de remonter dans le wagons en repartant from scratch … et du coup, re-tenter l’expérience OF (surtout pour la fonctionnalité « Review » qui me manque sur Things), mais ça m’énerve. J’ai pas le temps de perdre du temps avec les outils… j’ai l’impression que c’est une trappe à procrastination…

Merci pour ton message @anon56350303
J’ai du coup été rattraper mon retard en lisant ton message de l’année dernière.

Je crois pour ma part que suis assez clair avec ça: GTD est un outil, et c’est lui qui bosse pour moi. Et justement, je ne veux pas le mettre trop sur un piédestal. Ce n’est pas mon but dans la vie.

Néanmoins, il faut rendre à César ce qui appartient à César: c’est un super outil, efficient.

Mais je m’agace de ne pas réussir à le dompter, à en faire un compagnon d’aventure, de vie, fiable: c’est une belle voiture, mais peu fiable pour partir en voyage car il faut souvent mettre le nez sous le capot, réviser les réglages pour s’assurer qu’elle ne tombe pas en panne.

Vous vous souvenez de ce slogan d’un publicité pour des pneus ou une bagnole (je ne sais plus): « les performances sont celles qui durent ».

Et bien avec moi, j’ai l’impression que GTD me fait performer (pour ce qu’il promet d’être: + de sérénité, moins de stress, etc…) mais ça ne dure pas. C’est sans cesse remis en cause à un moment ou à un autre.

Et je ne sais pas ce qui ne va pas.

Je crois que c’est un indice fort. Que GTD demande des efforts au démarrage, c’est un fait pour la plupart d’entre nous. Pour autant, ça doit devenir facile et naturel avec le temps. Car comme tu le mentionnes en filigrane, ça devient plus qu’une habitude : c’est une manière d’être.

Qu’est-ce qui peut venir en travers de cet accomplissement ? Beaucoup de choses : des trucs très concrets comme, en effet, les app et le perfectionnisme qui va consister à raffiner un bouton ici, un lien là-bas, ça a été assez souligné ici.
Cela peut aussi se révéler à des niveaux moins évidents : par exemple, quand ce qui est possible devient une obligation, quand la capacité devient tyrannie. Exemple concret : je peux mettre 60 projets dans mon système, j’en mets 60 (au moins) quoi qu’il arrive… or ce n’est pas parce que ma bibliothèque peut contenir 450 bouquins qu’il faut forcément que je la remplisse. Avec le temps et la pratique, un peu à la façon des arts martiaux, on va commencer à remarquer nos biais contraires comme celui que je viens de mentionner ; l’attitude douce va consister à se dire « ce n’est pas parce que je peux que je dois », on va épurer non pas son système, mais ce qu’on y met. On va discuter fortement ce qui pourra devenir projet de ce qu’on ne fera finalement pas, etc. En fait, on va aller vers un minimalisme de contenu.

En somme, créer le système peut demander un effort temporaire, l’utiliser aussi, mais si l’effort perdure alors il y a quelque chose qui ne va pas. Regardez deux secondes David en vidéo, pensez-vous sérieusement qu’il est du genre à utiliser un système de dingue qui demande une maintenance de Ferrari ? (et pourtant, c’est un geek). Non. En somme, il faut aller chercher son naturel dans le système et son utilisation, et ça se fait en utilisant les contraintes à nos avantages (un peu comme on va utiliser la gravité pour transporter l’eau en aqueducs).

Je ne peux pas aller tellement plus loin ici, c’est un travail de coaching, et ça peut aller jusqu’à intégrer de nouveaux paramètres à notre identité. C’est comme lorsque quelqu’un décide d’arrêter de fumer : la personne qui parle d’elle-même en disant « j’arrête de fumer » aura beaucoup plus de mal que celle qui se définit désormais comme « non fumeuse ».

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Merci @Romain pour ton post. Il y a un cote psycologique tres puissant dans la methode a l instar des arts martiaux. Bruce lee disait << l important n est pas d en faire plus mais d en faire moins >> et leonard de vinci << la simplicite est la sophistication supreme>> Tes passionnants podcast le soulignent souvent.

Dans la technique du bullet journal on retrouve cet idee d elaguer les choses et c est meme le fil rouge de la methode ce que Ryder appelle l intentionalite.

Je crois qu on n est souvent pas assez critique avec les elements de sa inbox. Souvent on introduit des trucs dans son systeme qui sont plus des boulets que des projets qui nous donnent des ailes !

C est comme un jardin. On peut le laisser en friche ou penser chaque plante, chaque element pour le rendre a l image de la beaute et de la simplicite qu on imagine.

Je crois que la simplicite nous fait peur. Mais la peur est une Perception Eronee d Une Realite.

Je songe a mettre en place une nouvelle weekly personnelle une seance d une heure de nettoyage axee sur mes horizons

Peut etre ne restera t il que peu de chose dans mon systeme mais si c est l essentiel que m importe ?

Je termine la lecture de « Rompre avec soi-même ». Si j’ai bien compris, c’est notre focalisation sur le « manque », je veux dire tous types de manque qui crée c’est écart entre ce que nous sommes actuellement, ce que nous pensons être et ce que nous voudrions devenir.

J’ai bien réfléchi, c’est la même chose pour GTD, si nous passons notre temps à définir le « manque » soit de la méthode ou alors de ces conséquences nous passons à côté, car nous sommes trop dépendants d’éléments extérieurs. Citation du livre - « Tout ce sur quoi se portent vos pensées et votre conscience devient votre réalité… »

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Le manque, c’est aussi ce qui alimente toute réalisation. La création s’enracine dans la vision de ce qui n’est pas, mais que l’on résout alors de faire devenir réalité.

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D’après l’auteur, malheureusement ce manque qualifié de « matérialiste » à pour conséquence de limiter la création. Car nous laissons l’analytique de nous même mener la barque.

Alors que d’après l’auteur, il suffit juste de poser l’intention dans le moment présent sans se soucier du comment, et la transformation de l’intention en résultat apparaîtra, pas forcément comme on s’y attendrait.

Cela semble devoir être l’acceptation d’un grand saut dans l’inconnu.

Il y aurait donc la manière que j’appelle « brute force », toutes les méthodes et techniques qui utilisent la partie analytique de nous même, et cette autre voie

A la lecture de ce post @Romain je me dis que je dois faire un coaching

(et aussi parce que j’ai écouté ce podcast génial hier :nerd_face: : ‎Génération Do It Yourself: #197 - Patrick Mouratoglou - Fabriquer des champions on Apple Podcasts )

Moui, alors après bientôt 20 ans de carrière littéraire dont 10 professionnels, je me permettrai de réponse à cet auteur, d’expérience, que désolé mais non. L’analytique ET l’intuitif ont leur place tous les deux et doivent travailler de concert. L’analytique donne la forme et se charge de composer avec les règles du réel, quand l’intuitif ouvre les possibles.

Ma définition préférée est celle de (toujours lui) Dini, définissant la création comme une collaboration entre la mentalité « adulte » qui a conscience des contraintes du monde, et l’immédiateté de l’enfant, qui s’aventure en toute liberté et réalise des connexions intuitives.

Comme beaucoup de choses dans l’existence, c’est l’équilibre conscient et harmonieux entre les tendances qui parvient à un résultat. Comme disait Brassens, « sans travail, le talent n’est qu’une sale manie ».

Certes, nos sociétés tendent à surestimer le rationnel au détriment de l’intuitif, ce qui est une erreur. Mais l’intuitif sans rationnel, c’est tout autant de la pâtée pour chats. :smiley_cat:

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MDR :joy: :joy: :joy: Pas faux… C’est bien pour ca qu’on a deux emiphère. L’un rationnel, l’autre intuitif.
Et pour moi il faut utiliser les deux… Sinon on est bancal… Nous sommes des etres de lumiere plongé dans le pur matérialisme :wink:

J’ai trouvé une approche intéressante sur le forum US de GTD:

« I have fallen so often of the wagon that I have an « If I fall off the wagon » list

If I fall off the wagon, that is because I am stressed out or lacking energy. So first I do things to increase my energy

- Go to the gym
- Meditate
- Look at project and next action lists. Clear done things up. That’s a motivation bonus. (30 minutes)
- Don’t look at my inbasked for now. Because probably there are 150+ things and I won’t feel like processing that.

So this approach works really good for me. First increasing energy via working out + spiritual relief → after that clean done things up. That’s enough for the day and the next day, tackle your inboxes. »

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La rédaction d’une liste de secours fait probablement partie des choses à faire quand on est encore dans la wagon :slight_smile:

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Ce que je trouve interessant, outre la liste spécifique « FOTW », c’est cette remarque de dire: d’abord, il me faut de l’énergie, donc plutôt que de m’attaquer à mes listes, ma WR ou je ne sais quel outil, déjà, je vais faire du sport ou méditer, pour me ré-équilibrer énergiquement/physiquement me sentir bien dans ma peau.

Le reptilien avant le cortex pré-frontal en quelque sorte.

Si je synthétise:

1- Créer un dossier FOTW contenant le programme suivant:

  • Scanner rapidement toutes les inbox et mettre dans une liste spécifique les trucs VRAIMENT urgents, pour pouvoir ensuite les traiter dans un laps de temps court;
  • Placer tous les autres éléments des inbox dans un projet spécifique et prévoir de vider régulièrement ce dossier progressivement (par exemple: 20 minutes chaque jour jusqu’à épuisement du stock)

2- Commencer un WR complète

  • Comme on est tombé du wagon, elle peut-être très grosse: il vaut mieux la commencer et la faire partiellement (un petit bout chaque jour…), plutôt que se dire qu’on n’a pas le temps et reporter ça à plus tard;
  • Certains outils, comme Omnifocus, permettent de séquencer sa WR en mettant des échances différentes par projet ce qui permet par exemple de faire un cinquième de sa WR chaque jour de la semaine;

Voilà.
Il faut maintenant que je m’applique à moi-même ces bons conseils :nerd_face:

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